Ils ont grandi avec Google, Youtube, les smartphones, la fibre, les réseaux sociaux. Ces « enfants numériques » dont le profil contribue activement à la transformation digitale impacte aujourd’hui fortement les entreprises.
Prête à changer radicalement notre façon de travailler, la génération des Millenials, née entre 1980 et 2000, représentera plus de 75 % de la population active d’ici 2025(1). Tandis qu’un nombre croissant de Baby-Boomers arrive à l’âge de la retraite, la génération Y va de plus en plus occuper des postes d’encadrement et de direction, tandis que la génération Z, née entre 2000 et 2009, verra elle aussi sa proportion augmenter au sein de la population active.
Les entreprises qui interprètent mal ces facteurs de changement et qui conservent des processus archaïques perdront peu à peu leur avantage commercial. Elles sont amenées à repenser leurs processus pour optimiser leur business model.
Ces profils bousculent par conséquent les employeurs qui doivent quelque peu lâcher prise et définir les postes et les processus de recrutement avec soin. Et appréhender in fine un nouveau type de management valorisant la flexibilité, l’expérience technologique, un environnement de travail collaboratif et la possibilité d’évoluer.
Actuellement, trois générations coexistent dans la population active. Ce qui accentue la difficulté pour travailler ensemble c’est que chacune d’entre elles vit selon des valeurs directement basées sur des histoires de vie très différentes. Finie la retraite à 60 ans ou les emplois à vie. Les séniors sont donc de plus en plus âgés… Chaque génération a dû s’habituer à vivre dans ce contexte difficile.
Si les employeurs façonnent des emplois et des environnements adaptés aux Millennials et à la Génération Z, via un nouveau type de management, le potentiel qu’ils pourraient libérer pour leur entreprise en retour sera illimité.
(1) Quocirca Print 2025: Millennial’s Matter report – wwwprint.2025.com